Voici les propos outranciers de cette Hélène Palma qui viennent de Profem:
(réponse en rouge de Palma)

profem-l-digest Thursday, November 28 2002 Volume 01 : Number 1073
Date: Wed, 27 Nov 2002 17:05:36 +0200
From: Helene Palma <Helene Palma>
Subject: Re: [PROFEM] Masculinity vs. antimasculinism
I really think it is important to discuss those last two sentences:
>Postings which make sweeping and negative generalisations about men are unwelcome on this list.
Denouncing oppressive, violent, exploitative attitudes in men's behaviours to women in general, does not amount at all to 'rejecting' men.

>So are postings which imply that men are somehow intrinsically bad, oppressive or
sexist or which assume the worst in men's motives.
Sadly enough, men's behaviours are very commonly based on strength, domination, authoritarianism, humiliation (...), violence; which does not mean that such is their "nature" (the point is not to demonstrate that men are "intrinsically bad"): men were educated this way, other men set the example for them, society taught them how to become 'real males'..
Yet the undeniable result is that it is indeed very rare to meet a man who genuinely and actively refuses to behave this way, first by totally renouncing any kind of oppressive attitude, and also by accepting that women's attitude to men be slightly more combative.
The point is not to accuse men as such, but their general behaviour.
A general behaviour which definitely has to be criticized and reformed.
Helene

Pauvre Héléne, une folle (mais quel anglais remarquable, une agreg!)

- Elle nous dit in English que dénoncer la violence, les attitudes d'exploitation de l'homme ne veut pas dire rejeter tous les hommes.
- Elle continue par dire que le comportement des hommes en général sont communément basé sur la force, la domination, l'autoritarisme, l'humiliation.. la violence... La société en serait la cause. Il est très rare de trouver des hommes qui ne se manifesteraient pas comme cela.

Non seulement, elle est folle, mais pauvre femme. Enfin chacun sa vie.

Hélène PALMA, professeure d'anglais et spécialiste garde parentale (d'après elle-même).
Information retrouvée sur Google [site http://www.annuaire-au-feminin.tm.fr/ palma], car ce site n'est plus accessible qu'aux seules abonnées (le cache permet de les retrouver!). La bio de Palma a semble-t-il été retirée (devenu inaccessible...). Sa biographie "bioPALMAhelene.html" est aussi supprimée, ainsi que son article "GARDEparentale.html"...?
Ca a l'air davoir été remis en ligne: http://www.annuaire-au-feminin.net/bioPALMAhelene.html

Article: La résidence alternée, une loi pour les adultes ? (dimanche 20 février 2005) publié sur le site Sisyphe (féministe canadien) par Martin Dufresne (Secrétaire, Collectif masculin contre le sexisme -Canada-).
"En cours de parution en 2005 dans le Journal des psychologues (France)". Il n'y a qu'à lire les commentaires.

Bulletin 2001 de SOS sexisme dirigé par Michèle Dayras (une ultra féministes)

Le premier article est signé Hélène Palma (palmaln@compuserve.com) Professeur agrégée Université Stendhal Grenoble III

A - à propos de la garde alternée (loi votées finalement en 2002)
Mesdames et Messieurs les Sénatrices et Sénateurs, permettez-moi de vous exprimer ma profonde déception devant le rapport d'information du Sénat quant à la loi sur l'autorité parentale. Ce rapport questionne bien peu cette proposition de loi déraisonnable. Mis à part le point sur la proximité géographique nécessaire pour organiser une garde alternée, quels bémols sont apportés? La violence familiale, à l'origine de la plupart des séparations et divorces est omise.
Les risques courus par les enfants lors de visites chez des pères violents
(même si l'homme n'a jusque là été violent qu'avec la femme: l'enfant est
tout aussi exposé! La violence n'épargne personne voir Rapport Henrion) ne
sont pas mentionnés.
La médiation familiale est naivement encouragée, alors qu'il est illusoire
d'espérer réconcilier une victime de violence familiale(la femme) et son
agresseur (l'homme)... [S'en suit une propagande de démolition des hommes, puis la liste des emails de personalités du Sénat francais à contacter]
Un délire... contre la future loi autorisant la igarde alternée en 2002 en France.

Un autre article du même bulletin:
Alors que Michèle Audet, présidente de l'Association des femmes autochtones du Québec (http://qnwafaq.com/), présentait un mémoire à la Commission d'études sur les besoins des femmes et des enfants victimes de violence conjugale au Québec, elle nous apprenait que le gouvernement fédéral pourrait ne pas renouveler la subvention du groupe.
D'autre part, nous apprenions via une nouvelle en provenance de New York que le bureau de la condition féminine de l'Assemblée des premières Nations serait coupé.
On remarque l'intérêt vital pour le mouvement féministe d'être connecté aux subvention de l'état.

Enfin, en ce qui concerne ma thèse, qui a l'air de beaucoup intéresser M. Beaudin, je la soutiendrai dans un an et j'en tiens un exemplaire à sa disposition que ne manquerai pas de lui dédicacer.

Envoyé par hélène palma (helene.palma@free.fr) le 28 octobre 2003 à 01:22 PM

Le testament de Palma ou son militantisme inutile

Les activistes féministes lesbiennes en arrive même à virer les articles de Helene Palma!! Sur site Lez, la première version contient l'article de Palma (vu sur Google version d'avant). Cet article a maintenant été supprimé de la page (version après)
Lire ici l'article avant comprenant le Post de Helene Palma (biographie ratée).
Lire ici l'article après que les Lesbiennes de Lez est viré son article du site
Réflexions concernant le féminisme français aujourd'hui

Décidemment même sur un site féminin la propagande de Hélène Palma n'a plus court.
De même la source indiqué http://www.penelopes.org/xarticle.php3?id_article=6342 n'esiste plus. Bref, un article qui a été viré de partout.

Voici l'article retrouvé de Palma

... j'en arrive à une sorte de bilan, que j'ai envie de faire partager, parce que je sens bien ne pas être la seule à noter les limites d'une mouvance qui gagnerait sans doute beaucoup à s'unifier.
Expériences personnelles
...
J'ai été une enfant, une jeune fille et une jeune femme très tôt intéressée au militantisme de gauche et au féminisme.

Ma conviction féministe, même si elle s'est exprimée tôt, donc, dans un tel contexte familial, ne s'est pourtant concrétisée qu'à l'occasion d'un problème personnel. A l'âge de 27 ans, en effet, j'ai été victime de la violence verbale, psychologique puis physique de mon conjoint, que j'ai donc décidé de quitter, aidée en cela par ma mère.

Mes recherches personnelles m'ont très vite conduite à lire des études très intéressantes sur la violence domestique...J'ai aussi appris que les enfants témoins de la violence de leur père sur leur mère étaient autant marqués que s'ils avaient été eux-mêmes frappés, et que ces enfants, à l'âge adulte, présenteraient un certain risque, à force d'avoir été habitués à la violence dans le cadre domestique, de devenir eux-mêmes violents…

Engagement militant

Au printemps 2001, alors que ma situation personnelle se stabilisait, avec un divorce obtenu, ma fille avec moi et nous deux de retour dans notre région d'origine, j'apprenais le projet du gouvernement Jospin de généraliser la pratique de la résidence alternée en permettant à la Justice de l'imposer à tout couple en instance de séparation. L'idée me parut absurde mais surtout, je m'étonnais qu'on puisse chercher à généraliser un mode de garde qui, jusque-là, n'était pas autorisé par le Code Civil pour la simple et bonne raison qu'il ne permettait pas de préserver suffisamment l'équilibre des enfants. En fouillant le site internet de l'Assemblée Nationale, je découvrais bientôt ce qui s'était très probablement passé : la plupart des associations entendues préalablement à l'adoption en première lecture de ce texte de loi visant à réformer les dispositions du Code Civil en matière de garde des enfants étaient des associations de défense des droits des pères, et la quasi-totalité des intervenants entendus lors de ces auditions avait plaidé en faveur d'une généralisation de la pratique autoritaire de la résidence alternée.

Désillusions

Outrée, inquiète, scandalisée, je me lançais dans une campagne perdue d'avance pour tenter d'empêcher l'adoption de cette loi : Michèle Dayras et l'association Sos Sexisme, Martin Dufresne, l'association Solidarité-Femmes Grenoble, Christine Delphy, Michèle Le Doeuff et d'autres encore firent de même. Je me souviens aussi d'un petit message téléphonique de soutien d'Isabelle Alonso qui m'avait alors fait chaud au cœur. Car il n'était pas facile de lutter. Très vite, chez nos « alliées », des voix discordantes se sont fait entendre. On nous a dit que nous étions « réacs », que nous cherchions à privilégier les mères….

L'article que j'ai co-écrit avec Martin Dufresne très vite après l'adoption de cette loi, publié en septembre 2001, avec l'entier soutien de Christine Delphy, par la revue « Nouvelles Questions Féministes » (revue scientifique, féministe et matérialiste dotée d'un comité de lecture plus que fiable) a été taxé d' « essentialiste »….

D'une manière générale, ces « féministes »-là trouvaient formidable l'idée que « les-pères-s'impliquent-enfin-depuis-le-temps-qu'on-le-leur-demande »…. Après tout, madame, votre ex-mari demande à vous aider en prenant les enfants une semaine sur deux, de quoi vous plaignez-vous ?

Les femmes ont besoin d'aide et doivent être écoutées

Après plusieurs années de militantisme, d'implication d'abord enthousiaste puis lassée avant d'être franchement écœurée, j'ai envie de dire ceci : les femmes ont besoin d'aide. Et rien ne peut être entrepris, ni surtout dit à leur place, sans tenir compte de leur parole.
Aujourd'hui, en France, des mères ne peuvent plus se protéger d'un ex-conjoint violent, ne peuvent plus protéger leurs enfants d'une telle violence, ne parviennent pas à faire reconnaître l'inceste que leur enfant dénonce, sont insultées et malmenées par l'appareil judiciaire au moyen de structures de médiation qui n'ont de neutre que le nom, au moyen d'expertises psychiatriques ou médico-psychologiques qui puent la misogynie à plein nez.... [avant l'affaire d'Outreau]